Manipulation directe ( PV Mylène)

Ce soir là Danny avait enfin trouver une chambre d'hôtel pas trop mal. Il s'y était installer et attendant la pizza, il sortit sa guitare. Il commença à jouer un peu, deux trois petits airs calme et mélodieux, pour ensuite enchainer avec des airs un peu plus entrainant. Au bout de dis minutes il dut se stopper puisqu'on frappa à sa porte. Il crut que c'était la pizza, il se redressa et prit son porte feuille, il prit les billets et envoya voler le porte feuille sur le lit. Il se déplaça lentement, ayant un peu mal aux jambes après sa journée de boulot. Il portait un vieux jeans déchiré, un débardeur et un t-shirt à manche longue bien trop large pour lui. On voyait le haut de ses épaules, tellement l'encolure était grand. Pied nu, il poussa la veste et le sac qui trainait. Il ouvrit et sans regarder il fit :

"Combien je vous doit ?"

Puis il le va la tête et vit Mylène. une femme qu'il avait rencontrer et avec qui il avait pas mal sympathisé, elle lui avait conseiller de quitter l'appartement dans lequel l'agence l'avait mit et tentait de lui faire tourner la tête, mais Danny ne voulait pas croire ce qu'elle lui disait sur l'agence. Heureusement d'ailleurs, enfin, en tout cas elle avait réussit à lui faire changer de lui de vie...mais pour qu'elle raison d'ailleurs ? Et que voulait-elle ? Danny finit par dire avec un petit sourire angélique :

"Ha c'est toi...Entre je t'en prit..."

Ce soir, je pris une nouvelle fois le métro, maintenant j'y prenais goût. J'avais rencontrée un jeune homme fort charmant, qui se prénommait Danny Loréno. Il était dans l'autre camps, et j'aimerais bien le faire tomber dans mes filets, enfin qu'il change de vie, quoi ! Pour qu'il soit plus heureux. Je pris l'adresse qu'il m'avais donné, qui était dans mon sac. Je la pris et la lue, puis me rendis à la destination voulu, avec un taxi. Il me déposa devant l'hôtel, puis je paya le gars.

Je m'introduisis dans l'hôtel, salua la femme à l'accueil, enleva mes lunettes de soleil, et monta les escaliers pour te rejoindre. Dans mon sac j'avais apporter une bouteille de champagne, oui mon sac était grand donc pratique pour mettre toute sorte de choses. Je monta, mes talons aiguilles claquaient sur le sol, on pouvait m'entendre arriver de loin ! Je marchais jusqu'au fond du couloir, et m'arrêta devant la porte numéro dix. Celle de Danny. Je toqua et attendis bien sagement devant. Il m'ouvris la porte, à moitié en train de dormir, avec le jean troué et un t-hirt extra large. Ohh, mais il était trop mignon quand même ! Je lui fis un sourire à moitié gêné de le réveiller dans sa petite sieste. Puis il me dit d'entrer, donc j'entrai dans sa chambre en sa compagnie. Ses affaires étaient sur une petite table, un peu en bordel, mais bon, il était fatigué, il avait du travailler aujourd'hui !
Je posa mon sac sur son lit et le regardais puis je pris la parole :

- J'espère que je ne te dérange pas Danny...

Le déranger ? Non pas du tout, au contraire, il s'ennuyait profondément. Il te regarda et sourit. Il ferma la porte, et se passant une main dans les cheveux, il s'accouda au mur en face de toi. Il croisa les bras et ouvrant un peu plus les yeux il te dit :

"Non ça va. Tu ne me déranges jamais. Alors qu'elle est l'objet de ta venue ?"

Depuis qu'il était arriver à LA, il avait dut apprendre à parler une langue qui lui était étrangère avant et qu'on appelle le langage courant proche du soutenue. Car avant il était plutôt du genre rentre dedans, il n'aurait pas prit la peine, ou le risque, de laisser quelqu'un entrer dans sa chambre, surtout sans rien avoir ranger. Mais maintenant ce n'était plus trop le cas. Il avait la sensation d'avoir grandit, murit, mais en vrai ce n'était pas le cas et c'était même très loin de l'être. Il regardait toujours Mylène, puis il lui dit :

"Les pizzas ne devraient pas tarder à arriver, tu veux rester manger ?"

Il leva un peu les sourcils pour montrer son interrogation, puis il entendit toquer, une étincelle de joie élimuna ses yeux, il se colla du mur et alla à la porte, il paya le gars et récupéra son dut. Il alla poser les deux boites sur la table et te dit dos à toi :

"Je te préviens elles sont délicieuses, mais très copieuse, donc tu n'aurais plus faim après."

Il était une cible parfaite, mais était-ce vraiment l'envie de Mylène pour le moment, sont but étant de le faire changer de camps ou de l'éliminer si elle n'y arrivait pas...ce qui se passait en ce moment en faite, jamais elle n'arriverait à faire en sorte qu'il change d'avis, même si il était très proche d'Olivia, la considérant comme une amie, ou même une soeur.

Je le dérangeais jamais, ok, intéressant. Je le regardais, avec les bras croisés moi aussi, j'étais en face de lui, debout. Je n'osais pas m'assoir. Puis après qu'il m'es posé une question par rapport a ma venue à l'hôtel je lui fis avec un léger sourire :
- Ohh, rien de spécial, juste venir te voir, pour prendre de tes nouvelles.
Je lui souriais en le fixant droit dans les yeux, comme un animal ayant trouvé sa proie ne voulant plus la lâcher, même avec un regard limite qui faisait peur. Je regardais sa chambre, de haut en bas. Puis lui de haut en bas, avec un air bizarre. Il me proposa de rester manger avec lui une de ses pizzas favorites, oh oui avec plaisir ! Je le regardais une nouvelle fois, mais avec plus de charme cette fois puis lui fis :
- Oh, oui pourquoi pas ? Je devine que cela ne te dérange pas qu'une inconnue entre guillemet mange avec toi dans ta chambre d'hôtel ? Tu n'a pas peur, au moins ?

Puis quelqu'un toqua à la porte, tu alla ouvrir, c'était le livreur de pizza, notre met arrivait. Super ! On allait pouvoir manger, c'est vrai quand y pensant j'avais une faim de loup ! Je regardais, Danny qui les mis sur la table, il était à présent dos à moi. Il me dit que les pizzas qu'il avait pris était délicieuses et copieuses. Je ne dis rien mais fis juste un sourire en coin qu'il ne pouvait pas voir sauf si il se retourné bien sûr.
Je le regardais et laissa échapper un rire nerveux. Pour détendre l'atmosphère. Puis pris mon sac qui était sur le lit et en sortie une bouteille de champagne et enchaîna ensuite par :
- J'espère que tu aime bien l'alcool ? C'est pour l'occasion.
Je réfléchissais dans ma tête, comment faire changer d'avis cet jeune homme, pour le faire changer de camps ! C'était pas facile, mais j'y arriverais, j'en suis certaine. J'ai plusieurs idées en tête...

Mylène était donc venue le voir comme ça, pour prendre de ses nouvelles, sympa, mais Danny avait peur que cela ne cache autre chose. Enfin bon il ne lui fit pas part de cette stupide peur, car finalement il se posa contre le mur et te proposa de rester pour manger une part de pizza. Il sourit lorsque tu lui dis qu'il n'avait pas peur, il te regarda et te dit :

"Pourquoi tu veux me violé ?"

Évidemment il avait dit ça pour rire. Il ne comptait pas se laisser faire de cette manière, bien au contraire, il avait connus les violes et se refusaient de recommencer. Bien qu'il doutait qu'une femme puisse lui faire ça. Enfin bon, Mylène n'était pas venue spécialement pour lui faire du mal. Ensuite le livreur arriva. Danny le paya et ramena les pizzas dans la chambre sur la table prêt du lit. Il fit dos à Mylène et ne vit donc pas son air intriguant voir menaçant. Déjà lorsqu'elle le regardait on avait l'impression qu'elle voulait le bouffer tout crue. Alors là c'était un peu pire. Ensuite, Danny coupa les parts et tu lui demanda si il aimait bien l'alcool, vu ton sourire il te mentit et te dit :

"Ouais bien sur, comme tout le monde je pense."

Il ne voulait pas te dire qu'il ne buvait pas, après tout tu avais fait le chemin avec la bouteille et tu avais du la payer cher. Puis il bugua sur le mot occasion. Il se retourna et te dit en arquant un sourcil :

"Une occasion ? Laquelle ?'"

Puis il fit une moue et te regardant toujours il te dit :

"Me dit pas que tu vas recommencer avec l'histoire de l'agence ?! Je me sens bien avec eux et je peux m'en sortir, ils sont cool tu sais. Et ils m'ont dit de faire gaffe aux autres soit disante agence, qu'elles sont dangereuses, que tout ce qu'elles veulent c'est me foutre sur un table et me découper. Personnellement je ne changerais pas d'avis."

Il te regarda l'air déterminer et te fit ensuite :

"On mange ? On tu veux faire autre chose ?"

Je le regardais et lui souriais, il coupa les parts de pizza, je le laissais faire et je m'approchais de la fenêtre pour regarder dehors. Des piétons étaient dans les rues, les voitures, bus, taxis... Les immeubles en face aussi, c'était immense cette ville !!!
Quand Danny me demanda si je voulais le violé, je me retourna et lui fit de gros yeux, rigolant à moitié je lui fit :

- Mais non ! Quand même !!!
Je ne suis pas comme ça moi. Je suis gentille !

J'avais sortie la bouteille de mon sac et je l'avais posé sur la table à côté des pizzas. Elle m'avait couté assez cher, donc c'était bête de ne pas l'ouvrir et la boire. Je l'avais acheté juste pour notre petite soirée a tous les deux. Super, il aimait bien l'alcool. Donc je ne l'aurais pas achetée pour rien cette bouteille, enfin si je l'aurais bu mais toute seule, c'est pas cool toute seul c'est mieux a deux, et puis j'ai pas envie de me faire passer pour une alcoolique. Le jeune homme se retourna vers moi, et il me posa une question, il n'avait pas compris pourquoi j'avais employé le mot occasion dans ma phrase. Je lui fit :

- Quel occasion ? Ohh non rien, juste pour notre première soirée ensemble et puis pour faire la parlotte.

Puis Danny, me dit ce que je voulais lui dire, c'est a dire lui parler de l'agence, bien il l'avait deviné de suite, comme un grand garçon. En plus d'être beau, il est aussi intelligent ! Je lui souris légèrement puis je m'approcha de lui et me mis à lui caresser sa joue :

- Oui, bien trouvée. Tu sais exactement de quoi je voulais te parler. C'est bien.

Je le regardais puis fis la moue moi aussi, je réfléchissais à la tournure de ma phrase pour lui dire ensuite en enchainant :

]b]- Mais non ! Qu'est ce que tu raconte ! Qui sait qui ta mis ses idioties dans la tête ? C'est pas vrai ! Ne les crois pas je t'en supplie, viens avec moi, les autres agences ne te veulent aucun mal, fais moi confiance, viens avec moi, suis moi. Danny... Ne te pose pas de questions, fonce ![/b]

Je le tenais par la main et lui faisais un regard qui ferrais tomber tout le monde, un regard suppliant. Je ne répondais pas a ta question, je voulu d'abord que tu sois d'accord avec moi, j'attendis ta réponse...

Danny avait donc découvert pourquoi Mylène était venue. Mauvais point pour elle, elle lui avait mentie, mais vu que c'était un mensonge banale et bien trop gentil pour lui en vouloir, il oublia rapidement. Il sentit sa main sur sa joue, il frémit parce que oui, il aimait bien être câliner, ce manque de tendresse maternelle durant son enfance avait fait de lui un jeune homme très sensible et qui avait besoin d'être câliner. Il sourit, puis il lui dit qu'il ne voulait pas aller dans ces autres agences, qu'il serait tuer là-bas. Visiblement ce n'était pas l'avis de Mylène...Il l'écouta et elle lui lança un regard auquel il ne pouvait pas résister. Il lui fit :

"Rien que une journée ?...D'accord, mais...je dois d'abord en parler à l'IFIA, sinon ça risque de faire des problèmes."

Il sourit...si il savait dans quoi il venait de se lancer...Il serait bientôt en danger, car c'était un jeune homme précieux, surtout qu'il avait énormément d'énergie en lui. Ce qui en faisait un anormal très côté pour les agences. Il ne savait pas que Mylène était une mauvaise personne, du moins qu'elle était dans le mauvais camps. IL la regarda et lui dit :

"On mange maintenant ou pas ? Parce que j'ai faim !"

Fit-il avec un air d'adolescent. Il ne fallait pas oublier qu'il venait tout juste de sortir de l'adolescence et qu'il en avait encore le comportement. Il sourit et lui servit une part de pizza, il prit la sienne et sans attendre il croqua dedans, il avait vraiment faim. Il tendit une chaise à Mylène et se posa sur l'autre également.

Je le regardais en espérant qu'il accepte, et comme par enchantement il craqua et il répondis par l'affirmatif, il a pas pu résister a mon regard suppliant. Super ! Mon plan commençais a fonctionner ! Oh merci seigneur. Quand Danny accepta, je ne pus m'empêchais de sourire et de le remercier de son choix, puis je lui fis :

- Très bien !

Mais d'abord il fallait qu'il prévienne l'IFIA. Et ça ce n'était pas gagné, j'espère que sa gâchera pas tout. Je le regardais puis il me coupa une part de pizza, qui n'était ni trop grosse ni trop petite, la juste portion. Je la pris dans mes main en le remerciant. Moi, aussi j'avais très faim, il me tira une chaise et je m'essayai à côté de lui. Il croqua dans sa pizza en pleine dents, ça se voyait qu'il était affamé !
Je le regardais, et quand même avec un air triste, pensais qu'il étais en danger, et qu'il était si jeune et qu'il respirait la vie, mais bon c'est comme ça, c'est mon rôle. Je commençais à manger, puis je lui fis :

- Bon appétit Danny...

Je regardais en face, les building, franchement haut çafaisais peur, et si ils nous tombait dessus ? On serait bien dans l'embarras.

Danny sourit et commença à manger, il entendit le bon appétit de Mylène et se sentit coupable de ne pas l'avoir dit, alors il avala assez rapidement le morceau qu'il avait dans la bouche pour rattraper cette erreur qui pouvait être fatale avec certaines personnes, bien qu'il savait que Mylène ne devrait pas lui en vouloir la dessus. Il fit donc :

"Désolé, je manque à mon devoir, bon appétit à toi aussi."

Il sourit encore et continua de croquer dans cette bonne pizza. Rien que le fait de manger ce genre de plat lui refaisait penser au moment passé à New York avec Joey et surtout ces moments délicieux passer à joué dans le Before. Il espérait pouvoir y retourner un jour. D'ailleurs il se demandait si l'agence de Mylène pourrait le ramener là-bas, ce serait un plus pour lui, revoir les gens qu'il considérait comme sa famille et pouvoir leur expliquer la réelle raison de sa 'fuite' obligatoire. Il ne pouvait s'empêcher de penser à ça et aussi à ce qui se passait dans l'agence de Mylène, ce que les gens y faisait, ce que les gens lui ferrait. Il finit par lui demander :

"Heu...Mylène ?..Dis, ils font quoi dans ton agence tes patrons pour les gens comme moi ?"

Bien évidemment il ne se doutait pas que dans l'agence de Mylène il ne serait pas libre et qu'il subirait surement des expériences assez horrible. Il la regardait avec un air sincère et innocent. C'était un gamin perdue et totalement larguer, qui ne savait plus ou regarder, ni quoi faire, il se demandait sincèrement où tout ça allait le conduire.

Quand tu me dis avec un certain humour que tu manquait a ton devoirs, je te souriais et commença a manger ma part de pizza, puis en l'ayant bien dans la bouche te fis :

- Ouahh, elle est super bonne !

Je te regardais puis je repartis manger, le silence envahi la pièce, en entendait que nous. J'aimais ce silence, ou personne ne parlais, le silence, ou tout est calme. Je pensais a mon plan, a plus tard, j'imaginais déjà la scène, de ta première journée quand tu sera dans mon agence. Puis tu me demandai comment sa sera dans l'agence, je sentis le stresse de ton côté t'envahir, je voulais te mettre dans la confiance absolue, donc je pris ma part de pizza dans une main et l'autre de libre je te l'a mis sur ton épaule et te fis :

- Les patrons ? Dans mon agence ? Ohh rien de spécial, t'en fais pas , ne te pose pas de questions, et fonce, je te l'ai déjà dis, avec moi, tu es en sécurité. Enfin j'espère que tu te sens en sécurité en tout cas... C'est vrai je suis plutôt un petit gabarit mais bon... Le mental est la.

Je te regardais puis rigolais légèrement pour détendre l'atmosphère. Pour ensuite re croquer dans ma part de pizza, que je trouvais délicieusement bonne.

Son agence n'était donc pas une agence dangereuse d'après Mylène. Ses patrons étaient cool et sans danger. Danny commençait à la croire. Il se disait que de toute manière une agence qui recrute des mutants ne peut pas être 'méchante', il se disait que peut être que l'IFIA abusait un peu sur les mots pour l'incité à rester avec eux. Il finit par dire à Mylène :

"Bien sur que je te fais confiance. Tu ne serais pas là sinon. Oui je sais que tu n'es pas un grand cabarit mais c'est déjà plus impressionnant que le mieux, je suis plutôt svelte, avec une taille de bassin mince, donc bon disons que je me casse plus facilement en deux, comparait à toi."

Fit-il en se marrant et en avalant sa part de pizza, puis il s'en prit une autre. Il commença à la manger, et se décontracta, il se sentait beaucoup plus à l'aise, était-ce un bien ou un tort ? Il ne savait pas, et surtout il ne savait pas et ne se doutait pas que Mylène n'était pas là pour son bien. Il servit deux verres de champagne, se disant que un verre ne lui ferrait pas de mal. Il fit ensuite :

"A la tienne."

Je continuais de déguster ma pizza, et te regardais de temps en temps pour te sourire. Tu avais l'air plus à l'aise avec moi, et tant mieux. Moi aussi je l'étais d'ailleurs. Puis tu te mis à parler, je te regardais et t'écoutait, en faisant attention de ne pas rater aucun mot. Tu me faisais confiance, ça c'est déjà une bonne chose. Puis repris la parole :

- Oui, mais moi aussi je suis plutôt svelte, mais bon j'ai quand même de la force quand je frappe. C'est vrai je le reconnais.

Je m'essuyai les mains car je les avaient grasse à cause de la pizza. J'avais déjà terminé ma part avant toi. Tu me servis un verre de champagne, je te souriais, la prit et te fis :

- A la tienne Danny.

Je te souriais de nouveau puis bu une gorgée. Je te regardais, boire tu étais si charmant, mais bon on allait se calmer, j'allais pas me jeter sur toi bien évidement. Puis en gardant le verre dans ma main, je m'éclaircis la voix et te fis :

- Dis moi, tu as une petite copine, Danny ?

Je te demander ça, comme ça, pour savoir, il fallait rien s'imaginer d'autre...

Mylène lui fit remarquer qu'elle savait se défendre, Danny aussi fallait pas croire, mais il préférait ne pas se battre car généralement il gagnait c'était sur...mais la personne en face finissait foudroyé. Et ça c'était pas cool mais alors pas cool du tout. Il finit par croquer dans sa seconde part de pizza et par leur servir un verre à chacun, bon le champagne ce n'était pas son truc mais il ne comptait pas dire non vu qu'il se doutait que c'était pas donner ce genre de choses. Il lui sourit et trinqua. Par la suite Mylène, surement un peu curieuse, ou peut être intéresser il ne savait pas, lui demanda si il avait une petite amie. Il fit en faisant un grimace :

"Non...personne pour le moment, mais c'est plus parce que je ne veux pas...J'ai bien trop peur que cette personne soit en danger par ma faute entre mon satané pouvoir et ces problèmes entre agence..."

Il fit un sourire gêné et se levant il alla mettre un peu de musique, des solos de guitare, tantôt rock, tantôt slow, cela permettait d'avoir une musique d'ambiance, c'était bien plus cool que le silence qui commençait à devenir pesant. Il lui dit en revenant s'asseoir :

"J'espère que la musique ne te gêne pas. Au bout d'un moment le silence m'énerve, j'aime pas trop ça, je préfère le doux son mélodieux d'une guitare."

Il reprit son petit sourire espiègle et après avoir de nouveau croquer dans sa part et s'être réinstaller, il demanda à Mylène d'un regard espiègle :

"Et toi, tu as un homme dans ta vie ?"

Je te regardais, trinqua avec toi. Puis après que je t'ai posé la question, si tu avais une petite amie, tu fis une drôle de tête puis me dis que tu n'en avait pas, enfin que tu ne souhaitais pas, car avec tous les problèmes de l'agence et tes satanés pouvoirs, c'était compréhensible. Tu pourrais tuée quelqu'un...
Je ne dis rien quand tu m'expliqua ceci. Je ne savais pas quoi répondre, je suis timide et je ne trouve jamais les mots qu'il faut.
Puis tu te leva, je te regardais et te sourie quand j'entendis les premières notes de guitare retentir. J'avoue que ce silence devenait de plus en plus pesant. Mais j'aimais bien le silence, je n'aime pas parler. Je préfère l'écriture. Je bu encore une gorgée de champagne que je finis cul sec. Je te souriais et tu revint t'assoir. Puis tu me dis que tu aimais cette musique et tu me demanda si moi aussi je l'aimais et me demanda aussi si j'avais un homme dans ma vie, et je te fis calmement :

- Oui j'aime beaucoup, sa repose... Je sais en jouer de la guitare et toi ?

Puis par rapport a ta deuxième question je te dis :

- Non, malheureusement, enfin c'est une longue histoire. On s'est séparer... Enfin bref, je suis de nouveau célibataire...

Je ne voulais pas trop parler du passé, qui me faisait mal. Maintenant c'était finie.

Danny jouait de la guitare depuis ses 9 ans, et il adorait ça. Cet instrument lui avait permis de se reconstruire depuis ce qui lui était arriver et contrairement aux être humains, il ne l'avait jamais trahis. Danny se rattachait à cette penser, parce qu'apprendre que son père ne veux pas de soit c'était dure, mais apprendre également que sa mère était morte en le mettant au monde c'était tout aussi dure, car pendant longtemps il s'était sentit responsable de sa perte. Maintenant ça allait, il avait comprit qu'il n'y était pour rien et que bien au contraire, ce n'était qu'un gamin seul. Il finit par retrouver le sourire lorsque Mylène lui demanda si il savait jouer de la guitare, il sourit et lui dit :

"Oui depuis que j'ai 9 ans. Je joue de la guitare sèche et parfois de l'électrique."

Puis il te vit boire ton verre d'une traite, il fut impressionner, lui il avait déjà pas mal de mal à finir sa coupe. Enfin il finit par y arriver. Il te proposa un second verre et attendit ta réponse. Ensuite tu lui parla de tes histoires d'amour, c'était du passé visiblement. Danny sourit et lui dit :

"On est beau comme ça...Et tu voudrais avoir un copain ? Enfin un homme je veux dire ? Parce que moi...je ne me sens pas prêt à mettre quelqu'un en danger.."

Tu me dis que tu savais jouer de la guitare, depuis tes 9 ans ! Wahou moi j'ai appris a jouer de cet instrument bien plus tard a l'âge de mes 35 ans, tout comme mon permis de conduire. Je te souriais puis t'écoutais parler, j'avais mon verre vide dans la main, je l'avais bu cul-sec. Ce qui ta étonné, j'avoue. Toi, tu le vida quelques minutes après moi, avec un peu de difficultés. Ensuite, tu me proposa un second verre que j'acceptai sans hésitation. Je te souris, et te remercia quand tu me le servis. Je le pris et le posa en face de moi, sur la petite table. J'avais du mal à parler de moi, j'ai toujours du mal à m'exprimer, je ne sais pas pourquoi, c'est dans ma nature. Tu commença une gorgée de ton deuxième verre de champagne. Je te regardais, puis tu me demanda si j'étais prête a accueillir un homme dans ma vie. Je baissa la tête, puis te fis :

- Un homme dans ma vie ? Oh oui, enfin je sais pas... Mais pourquoi pas... Sa dépend si il me fait pas souffrir comme m'a fais souffrir mon ex... Oui... J'aimerais bien, avoir quelqu'un sur qui compter, qui me fasse des câlins, qui m'aime... Et qui soit sincère... Oui... Après il faut tomber sur la bonne personne, et de nos jours c'est difficile...très difficile... Oui... Toi, c'est sûre, il faudrait pas que tu mette quelqu'un en danger...

Je te regardais et te souriais légèrement.

La discussion tournait maintenant autour des hommes de la vie de Mylène, pas que Danny ait réellement envie de se caser, parce que de toute manière ce n'était pas son attention, mais plutôt que le faite de savoir ce que les gens pensaient de l'amour en lui même pouvait lui donner un espoir d'aimer une personne un jour. Il sourit et lui fit :

"Ouais, tu trouveras bien un jour, tout comme moi...Enfin, on verra."

Il était persuader qu'il ne trouverait jamais personne, pas qu'il se dévalorise à se point, mais plutôt qu'il avait tellement peur de faire du mal, qu'il voulait rester à l'écart. Il sourit une nouvelle fois à Mylène, et but une nouvelle gorgé de son verre, de champagne, n'étant pas habitué à l'alcool, il sentit sa tête commencer à tourner. Il ne savait pas trop quoi faire. Il était un peu perdue. Il posa son verre de côté et reprit une part de pizza, ça au moins il savait que sa ne le rendrait pas malade. Il finit par lui dire :

"Alors elle est où ton agence ?"

Tu avais trouvé un sujet de discussion, assez pénible pour moi, mais je ne dis rien. Je te parlais et t'écoutais quand tu avais quelque chose à dire. Je n'aime pas parler de moi. Tu me dis que je trouverais certainement quelqu'un, je pense aussi, mais quelqu'un de bien ça va être dur. Je te souriais, et reposa mon verre, qui était presque vide. Tu avais l'air bizarre et toi aussi tu posa le tien sur la table. Tu avais l'air tout bizarre, surement l'effet de l'alcool !
Moi, non j'allais bien, enfin quoique moi aussi sa montait à la tête, enfin ça commençait. Puis tu me demanda ou était mon agence, je te regardais puis te dit :

- Ohh, non loin de là. Ne t'en fais pas, je t'accompagnerais, je ne vais pas te laisser tout seul !

Je pris mon sac qui étais juste derrière moi et en sortie un paquet de cigarettes et te demanda :

- Tu en veux une ?

En te montrant le paquet puis j'attendis ta réponse.

Danny sourit lorsque Mylène lui dit qu'elle ne le laisserait pas seul et qu'elle serait avec lui. Il était plutôt flatter qu'elle accepte de rester avec lui. Il était content il ne serait plus seul, mais en même temps il s'en voulait parce qu'il allait laisser Olivia seul. Il fit à Mylène lorsqu'elle lui proposa une cigarette :

" Non merci je n'aime pas les cigarettes..."

Il sentait toujours sa tête tourner, n'étant pas du tout habitué à l'alcool les deux verres qu'il venait de prendre l'avait rendue KO. Il s'allongea sur le lit et fit à Mylène en posant son bras gauche derrière sa tête et allongeant son dos sur le matelas. Il plia un genou et allongea l'autre. Il lui dit donc avec un sourire espiègle :

"Tu sais quoi ? Je crois que l'alcool c'est pas pour moi...J'ai trop mal au crâne maintenant..."

Il se mit à rire tout seul, il était pas ivre, mais il était plus sobre ça c'était sur. Il était entre les deux, le moment où la personne est tout le temps joyeuse et tout le temps heureuse. La moment où elle peut dire oui à tout sans se poser de question et le moment où les barrières mentales ne se font plus.

Je te souriais, et te regardais, tu avais l'air heureux, soulagé quand j'acceptai de t'accompagner dans mon agence. Oui, il vaux mieux que je sois avec toi, c'est plus prudent, on ne sait jamais.
Tu refusa ma cigarette, apparemment tu ne fumais pas. J'en pris une que je mis dans ma bouche puis avant de l'allumer te demanda :

- Dis, ça te dérange pas au moins que je fume ici ? Sinon je vais dehors.

Je ne voulais pas devenir trop envahissante, et envahir ta pièce , d'odeur de cigarette alors je te posa la question, si tu voulais ou non que je reste ici pour fumer.
Puis tu t'allongea sur le matelas, je te regardais faire et te fis un petit sourire espiègle moi aussi. Tu avais l'air tout bizarre, je te regardais, je pouvais plus ne pas te regarder. Tu me dis que tu avais mal au crâne et que l'alcool ce n'était pas pour toi. Moi aussi je me sentais toute drôle aussi, je m'éclaircis la gorge puis te dit :

- Moi aussi, j'avoue que là, je me sens toute drôle !

Danny te regarda, toi le gêner ? Non pas du tout, même si tu fumes, ce n'était pas un gros problème. C'était juste une cigarette après tout, ça n'allait pas le tuer,et puis lui, il n'allait surement pas tarder à dormir...Il te fit avec un sourire un peu béhat :

"Non t'en fais pas..."

Par la suite Danny s'était donc allonger sur son lit expliquant que l'alcool ce n'était pas pour lui, qu'il était bien plus que KO, et qu'il ne se sentait pas super bien, visiblement Mylène était dans le même état. Danny se marra en t'entendant, pourtant il n'y avait rien de drôle. Il te dit ensuite :

"Ha oui ? Tu as trop bu ?"

Il ne savait pas trop ce que boire trop voulait dire, vu que cela dépendait des gens, mais lui en tout cas, deux verres c'était bien trop pour lui. Il resta allonger sur le lit et se passa une main sur le ventre. Il sentit ses paupières devenir lourdes, mais il luttait contre le sommeil pour ne pas s'endormir.

Tu me souriais, tu semblais tellement fatigué, mais tu me dit que la cigarette ne te dérangeait pas. Tant mieux, cigarette a la bouche, je te regardais et te rendais ton sourire. Tu t'allongeais sur le lit, à moitié KO ! Tu rigolais, surement le fait de l'alcool, moi aussi je rigolais. Alors qu'il n'y avait pas de quoi rire ! J'avais la tête qui tournais, alors je m'allongea moi aussi, tout près de toi. Laissant échapper la fumée qui commençait a envahir la pièce. Puis tu me demanda si j'avais trop bu. Je te regardai et te fis :

- Oui, enfin je sais pas ! C'est aussi la fatigue, hein... Puis voila quoi...

Je ne savais pas ce que je disais, l'alcool plus la fatigue ce n'était pas bon. Je regardais le plafond, le silence s'était installée, j'essayai de ne pas m'endormir. Le silence devait pesant, mes paupières se fermaient toute seules. Puis me tourna vers toi et te demanda :

- Dis, tu veux pas mettre la télé ou la musique, histoire de nous tenir éveillés ? Qu'en pense tu ? Ou peut être veux tu que je m'en aille ? Je te laisse tranquille, a toi de voir... Je ne vais pas rester ici t'embêter...

J'attendis ta réponse, en m'asseyant, et avec toujours la clope dans la bouche.

Le laisser tranquille ? Mais pour sa faudrait qu'elle l'embête ? Et ça c'était pas le cas. Il la regarda et lui dit en grimaçant un peu :

"Mais tu ne m'embête pas...C'est vrai je t'assure. Tu es plutôt de bonne compagnie. Parle moi encore de ton agence...qu'est-ce qu'on fait là-bas ? Qu'est-ce qu'ils vont me demander de faire ? Comment ils vont agir avec moi ?"

Tout en posant toute ses questions, il alluma la radio et laissa la musique s'enchainer toute seule comme une grande. Sauf que son pouvoir commençait à agir en lui, il ne savait pas si il allait se déclencher ou non, mais l'alcool avait fait quelques choses à son pouvoir. Il sentit ses mains se mettre à lui picoter le bout des doigts. Il fit à Mylène.

"Je reviens, désolé..."

Il se leva en vitesse, et fila s'enfermer dans les WC de la chambre d'hôtel. Il sentit l'électricité sortir de ses mains, et ça lui faisait peur. Il était incapable de se contrôler. Il était bien trop fatigué pour ça. Il était un peu en panique... Au bout d'une dizaine de minutes ça se stoppa et il put récupérer son souffle. Il se posa contre la porte et se sentit mal. Il aurait put tuer Mylène si il était rester auprès d'elle, il était devenue dangereux...très dangereux.

Je te souris, j'étais contente que je ne t'embête pas alors. ça faisais plaisir que tu me dise que j'étais de bonne compagnie. Je te fis un :

- Merci.

Puis tu me posa plusieurs questions en même temps, tu voulais que je te parle de mon agence, ok, pas de soucis. Tu me demanda, qu'est-ce qu'on fait là-bas ? Qu'est-ce qu'ils vont te demander de faire ? Comment ils vont agir avec toi ?
Je te regardais, fuma un coup et te fis, puis juste avant d'ouvrir la bouche tu partis t'enfermer aux wc... Un envie pressante, je souriais en coin. Je me leva Puis commençais a répondre a tes questions :

- Alors, je sais pas, ils vont certainement te poser des questions, comme tous les inconnus qui arrivent, pour en savoir un peu plus a propos de ta personne. Et ils seront très gentilles avec toi, ne t'en fais pas, j'essaierais de rester avec toi, si ils me virent pas, parce que ils sont gentils mais peuvent être violent et assez méchants ! Alors un conseil, fais ce qu'ils te demandent de faire !

Je fumais, et t'attendais, je restais tranquille, m'approchais de la fenêtre et regardais les bâtiments en face. Les taxis jaunes. J'étais un peu fatiguée, mais ça allait quand même, j'écoutais la musique, qui s'enchainait au poste de radio...

Danny tremblait et transpirait comme si il venait de faire le marathon de New York. Mais non, il était tout simplement en train de perdre le contrôle de son pouvoir. Il paniquait un peu beaucoup. Il aurait voulut appeler quelqu'un à l'aide, mais il ne pouvait pas, si quelqu'un entrait là, elle serait foudroyé et donc se ferrait tuer. Il finit par écouter ce que Mylène lui dit et fit :

"Je crois pas que ton agence est une bonne idée Mylène...car j'aime pas qu'on me dicte ma conduite, et si ils sont capable de devenir violent, je préfère encore rester dans la rue."

Il fit les éclairs se balader dans la pièce, ça commençait à faire pas mal de bruit dans la salle de bain. Il finit par arriver à se calmer. Il sortit de la pièce, blanc comme un linge et transpirant à grande goutte, il la regarda et lui fit :

"Désolé...parfois je ne maitrise rien..."

Il était terrifié rien que par l'idée de ce qui aurait put se passer, si il l'avait toucher, si elle serait rester avec lui, si elle aurait voulut rentrer. Et si il l'aurait tuer, à coup sur l'agence aurait tenter de le retrouver et l'aurait éliminer. Pourtant il avait rien demander, il n'en voulait pas de ce satané pouvoir.

» Mylène Gautier [ √ ]